G. Cogez-mentionne-le-rôle-formateur-de-la-fatigue-chez and N. Bouvier, Il l'a souvent vécue comme une compagne fidèle et un véritable principe d'imprégnation, d'harmonisation avec les lieux où il a séjourné, La mise entre parenthèses de l'ego qu'elle provoque constitue une irremplaçable source de découvertes. » (Gérard Cogez, Les écrivains voyageurs au XXe siècle, éd. du Seuil, p.197, 2004.

«. Ce, (soit autant que le pronom « je » qui compte 15 occurrences) Nicolas Bouvier a très souvent recours, dans Chronique japonaise comme dans ses autres textes, à cette utilisation des pronoms « on » et « vous » se substituant à la première personne. Voir par exemple dans le chapitre XV de Chronique japonaise, « Autour d'Araki-Cho », comment, par le même procédé, il associe le lecteur à ses pérégrinations dans les quartiers de Tokyo à la recherche d'un logement, Ibid. 20 Ibid. 21 Ibid. 22 Ibid. 23 Ibid, pp.648-648

. Et-dont-bouvier-cite-un-Échantillon, Je suis seule dans la ferme, je pense à votre mère. Les cerisiers ont déjà fleuri ; les pruniers pas encore. Rattachez-vous aux ancêtres, aux saisons, et vous reprendrez courage. » (CJ, p. 647) ? la citation ayant, comme on sait