. Koyré, From the Closed World to the Infinite Universe, new york, harper torchbook, 1958) affirme l'étroite connexion entre newton

J. E. Mc-guire, ce sont les figures qui se tracent dans les esprits sur la superficie de la glande, « qui doivent être prises pour les idées, c'est-à-dire pour les formes ou images que l'âme raisonnable considérera immédiatement, lorsqu'étant la représentation sensible, voir l'article original de G. hatfield, « descartes'physiology and its relation to his psychology, chap. v. 17. présenté et traduit dans J.-e. mc Guire, « newton on place, time, and God: an unpublished source, vol.35, pp.335-370, 1978.

, 48) expliquait à leibniz que l'indivisibilité de l'âme ne prouve pas qu'elle soit réduite à un point, car l'espace qu'il soit fini ou infini est lui-même quelque chose d'indivisibleimaginer qu'on puisse en séparer les parties c

, « When the hebrews called God makom place, the place in which we live, move and have our being & yet did not mean that space is God in a litteral sense for they used to speak of God by figures and allusions and put space for his omnipresence by a figure » (ms cambridge, portsmouth collection add 3965 fol. 290, cité in copenhaver, « Jewish theologies of space in the scientific revolution, vol.16

, « partes dantur successivae in duratione, coexistentes in spatio, neutrae in persona hominis seu principio ejus cogitante; & multo minus in substantia cogitante dei. omnis homo, quatenus res sentiens, est unus & idem homo durante vita sua in omnibus & singulis sensuum organis. deus est unus & idem deus semper et ubique. » (« il y a des parties successives dans la durée, et des parties co-existantes dans l'espace ; est présent partout, non seulement virtuellement, mais substantiellement, Document téléchargé depuis www.cairn, vol.14, pp.47-72, 2014.

. Dieu, écrit encore newton, est « tout oeil, tout oreille, tout cerveau, tout bras, tout pouvoir de percevoir, d'entendre ou d'agir ». il est toujours, tout entier lui-même, en chacun de ses actes, la même personne indivisible 51 . il semble donc que la toute dernière métaphysique newtonienne Recherches Philosophiques (EA 373), pour la chronologie des révisions du Scholium entre 1713 et 1726, voir a. r. hall & m. boas hall, vol.31, pp.343-367, 1978.