, 302. (68) li s'agit de Georges Simenon. (69) Paris, 19 nov458, n. Bosq uet-Denis. (70) Riom , 9 nov1I.l9107, n. Alma irac . (71) V. obs Combaldieu concernant le partage du capi tal décès entre la veuve et la concubine (73) FAOLALLAH, < <Vers la reconnaissance de la répudiation musulm ane par le juge fra nçais (74) Tolérance assombrie du fait que la pol)'gamie en question est le privilège exclusif de l'homme , la polyandrie étant exclue, 1934.
, ? in Henouueau des idér's .ru· r la famille Loin aussi le « devoir d u veuvage éterne l » préco n isé par A Com te ; v. dans le même ouvrage, l' étude de M. Maitron, 82. (76) Possibilité de contester la patern ité légitime par la mère un e fois remari ée avec le véri table pè re, art. 318 C. C. (77) Ré partition des pensions du mat·i décédé entre les différentes femmes au prorata de la durée des mariages respectifs. (78) L' extension de l'obligation alimentaire à la concubine et à l'enfant ad ulte q ui poursui t des études supérieures est un autre essai d ' élargir le cercle familial éu·oi t, v. THÉRY, Trois conceptio ns de la, 1954.
, C. P. 1986.1.324 1, n" Il. (229) HENRY, «U ne praLique critiq uable: la clause d 'accroissem en t e n fraude elu régi m e matrimon ial (230) Un tie rs hésitera avant d 'acquérir un bien a ffecté de la clause e t dom il sera d é po uill é en cas de prédécès de son vendeur. (231) En cas de sti pu lation d 'inaliénabilité. (232) Raffray eL Sé néchal, n. sous Civ. 27mai, J987, éd. . J66. (233) Civ. 27 mai 1986 p1·écité. (234) DuMORTIER, « Reche rche d'un nouveau fo ndemen t de la valid ité de la clause, p.31, 1986.
, (238) H E:--JRY, op. cil., n" 33. (239) Du MORTIER, ofJ. cil., 690; Pr LLEBOUT, '' A propos de la LOnLine eL de la réversion, 0231.
, L'épouse peut refuser cet accu e il De m ê me, e lle pe ut prouver qu 'elle n'a pas accouché d e l'enfant inscrit dans l'acte de naissance comme étant le sien et que la femm e qui a accou ché au domicile elu m ari était la maîtresse d e ce de rnier (249) . 59. Conservation du logement familial: Le conjoint a plus de possibili tés de conserver le logement familial que le concubin. Ainsi, pe ut-il le conserver après veuvage s'il en est l'usufruitier (art) s'il s'agit d'un bien commun (an, pp.334-341
, ? r?ro. Ir. dr. ci v. 197 J, sp . 576 ct s.; Ci v. 7 juin 1988, D. 1989. 141, n . BreLon : attribuLion pré fércnLi clle même si " l' indivision a pris nai ssance par une convention anLé rieure a u mariage "· (251) Civ. 4 nov, 1993.