, puis la propagation ultérieure de ces techniques, en particulier les capitaux de fondation, cf. V. chankoWski, « Les places financières dans le monde grec classique et hellénistique des cités », Pallas 74 Je ne m'étends pas sur l'apparition des banques qui participent bien sûr de la même tendance : cf. en dernier lieu, Pistoi dia tèn technèn. Bankers, Loans and Archives in the Ancient World. Studies in Honour of Raymond Bogaert, pp.105-108, 2008.
, 50, à propos des historiens qui considèrent le rôle économique des évergètes en termes de pure « utilité pratique » dans des cités constamment déficitaires. 46. On se reportera à la dernière (et excellente) édition du texte par kl. halloff : IG XII, n° 172 (= auparavant, L. migeotte, Les souscriptions publiques dans les cités grecques, 1992.
, Van looy éds., Opes Atticae : miscellanea philologica et historica Sur ce point, cf. A. Bresson, La cité marchande Prosodoi publics, prosodoi privés : le paradoxe de l'économie civique de surplus d'argent après l'achat du stock, la cité peut décider soit de transmettre la somme aux magistrats suivants, soit de désigner des commissaires au blé (sitônai) qui peuvent acheter le grain où ils le souhaitent, soit enfin de procéder à une adjudication (misthôsis) de ce marché du grain en versant la somme au plus offrant, repris dans La cité marchande Le simple énoncé de ces opérations montre que la cité maîtrise des techniques sophistiquées et qu'au-delà du grain, c'est aussi et surtout la circulation de l'argent entre le domaine privé et le domaine public qui est intéressante, pp.297-308, 1990.
, Veyne 56 , qui le qualifiait d'étrange et même implicitement d'irrationnel, l'évergétisme, qui scelle socialement une transaction marchande réussie et répond point par point à la théorie des coûts de transaction
, 25 : « Pourquoi trouver étrange l'évergétisme ? L'impôt est un système plus rationnel ou plus hautement élaboré que la liturgie ou le mécénat (?)