Nazar, pourquoi est-ce que nous vivons ? Est-ce qu'on s'en portera bien ? [?]-Nazar, pourquoi je suis toujours à attendre ? demanda-t-elle encore. Pourquoi je crois voir des choses très graves et après il n'y a plus rien. Pourquoi le coeur commence à me faire mal ?-Tu grandis, Aïdym, dit Tchagataïev ,
Il faudrait maintenant avoir une autre peine, plus intéressante, pas comme l'autre. L'autre, on en a assez. Invente quelque chose, on se demande à quoi t'a servi de vivre avec Staline, p.10 ,
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