M. Stewart and L. Gabála-erenn, The Book of the Taking of Ireland, Irish Texts Society, vol.35, p.156, 1939.

, Anaiss tr? M?led mac Bile ocht mbliadna in ?igipt, ý ro foglaindseat a muinnter pr?md?na indti : .i. S?tga ý Sobairchi ý Suirge fri s?irse, Mantan ý Caicher ý Fulman fri druidheacht. Batar buadlaind ý batar brethemnaigh in triar aile, Ba s? ind aimsir sin doluid Alaxandir M?r mac Philip isin nAsia, co riacht ?igipit, ý dobreth ind ?igipt d?a r?ir, ý ro d?chuir in ?gipt, ý do chart a r?g Nectenipus a H?ighipt ind Eithe?ip ; ý ro chumtacht pr?mchathair laiss ind ?igipt, .i. Alaxandria a hainm, vol.35, p.8, 1939.

, Sur la trajectoire de la culture de l'antiquité tardive et des oeuvres qui la véhiculent vers l'Irlande, J. N

H. , «. Ireland, . Spain-in-the-seventh, and . Century, John CAREY écrit à ce sujet, que dans les premiers récits sur les origines irlandaises, tous les envahisseurs viennent d'Espagne. Il ajoute que A.G. van Hamel suggère de manière plausible que ce détail a été inspiré par le fait qu'Isidore invoque l'Espagne comme 'mère des races, The Irish National Origin-Legend : Synthetic Pseudohistory », Quiggin Pamphlets on the Sources of Mediaeval Gaelic History 1, p.12, 1994.

R. A. Stewart, M. , and L. Gabála-erenn, La tour est probablement la Tour d'Hercule (La Corogne) édifiée comme phare dans l'Antiquité (Flaviens c. 100). D'après Isidore et Orose, l'Irlande fait face à l'Espagne d'où elle est visible, Rolf BAUMGARTEN, « The Geographical Orientation of Ireland in Isidore and Orosius, ?th mac Bregoin athchonnairc h?rinn ar t?s, fescor gaimrid, a mulluch T?ir Bregoin; d?ig is amlaid is ferr radharc duine, vol.44, pp.189-203, 1956.

M. Kim, Pagan Past and Christian Present in Early Irish Literature, p.67, 1990.

, Dictionary of the Irish Language, vol.133, p.306, 1990.

. Sur-les, K. Fergus, . Guide-to-early-irish, and . Law, , pp.43-49, 1988.

A. Christophe, Les chemins du jugement. Procédure et science du droit dans l'Irlande médiévale, pp.65-71, 2007.

, Il déclame des vers dès qu'il pose le pied en Irlande, cf. supra, vol.1

, Sur les poètes irlandais en général, voir Muireann NÍ BHROLCHÁIN, An Introduction to Early Irish Literature, pp.10-13, 2009.

P. K. Ford, The Celtic Poets, pp.p. XV- XXV, 1999.

J. E. Caerwyn-williams, The Court Poet in Medieval Ireland », Proceedings of the British Academy, vol.LVII, pp.1-51, 1971.

, Dans la version A, H 3. 18, CIH 875.37, on peut lire : doaircechnadar doicfa in berla mban mbiaid .i. canoin, « ils avaient prédit que le langage blanc de béatitude viendrait, the Pseudo-Historical Prologue to the Senchas Már », Ériu XLV, p.18, 1994.

A. L. , , vol.16

, Ina bretha firaicnid tra d? rolabairustar in spirit naem tria ginu breithemon ý filed fireoin fer neirenn o congabud in insi-so co creitium anall, tosairfen dubthach uili do patraic ; ni d? nad taudchaid fri breithir nde i recht litri ý nufiadnaise ý fri cuibsena cresion conairged i nord breithemnachta la patraic ý eclaisi ý flaithe erenn do neoch robba dir recht aicnid ingi cretium ý a coir ý comuaim neclaisi fri tuaith, vol.342, pp.9-14

A. L. , , pp.10-19

M. Kim, John CAREY, op. cit, pp.18-19, 1986.

, Voir le texte et la traduction de ce passage dans Rudolf THURNEYSEN, Aus dem irischen Recht IV, pp.175-177, 1927.

B. Liam and . Lawyers-in-early-ireland, Studies in the History of the Legal Profession, p.5, 1990.

A. L. , , pp.24-28

A. Christophe and «. L'enseignement-du-droit-dans-l, Irlande médiévale », Orient/Occident-L'enseignement du droit, Droit et Cultures, numéro hors série, Cette Introduction du Senchas Már daterait de la première moitié du VIII e siècle, R. THURNEYSEN, op. cit, p.186, 1927.

. Une-légende-reprise-dans-le-glossaire-de-cormac, ce qui fait dire à Kim MCCONE, qu'elle est complètement développée à la fin du IX e siècle et qu'elle peut remonter au VIII e siècle, pp.20-24, 1986.

D. A. Binchy, Sources : CIH, vol.76, pp.15-18, 1975.

A. L. , , pp.20-26

M. Kim, C. John, and O. C. , , p.8, 1986.

C. 'est-ce-qu'eleanor-knott-appelle-«-la-métamorphose-de-protection, ». Proinsias, M. Cana, «. Regnum, and . Sacerdotum, Voir aussi Robin Chapman STACEY, Dark Speech. The Performance of Law in Early Ireland, Notes on Irish Tradition, p.57, 1979.

, Sur la hiérarchie des poètes, voir l'ouvrage de Liam BREATNACH, The poetic Grades in Early Irish Law, 1987.

A. Voir-le-tableau-comparatif-dans-christophe, Les chemins du jugement. Procédure et science du droit dans l'Irlande médiévale, p.442, 1979.

C. James and . Language, A New History of Ireland I, Prehistoric and Early Ireland, éd. Dáibhí Ó CRÓINÍN, p.453, 2005.

, Tout ce paragraphe se fonde sur James CARNEY, « Language and literature to 1169, A New History of Ireland I, Prehistoric and Early Ireland, éd. Dáibhí Ó CRÓINÍN, p.454, 2005.

. Pour-robin-chapman and . Stacey, « comme toutes les bonnes légendes des origines, l'histoire de Dubthach et Patrice constitue une tentative de donner une validation historique aux rapports qui ont cours au temps où l'histoire a été composée », Dark Speech. The Performance of Law in Early Ireland, p.165, 2007.

R. Chapman, S. , and O. C. , , p.158, 2007.

A. Daniel, T. Binchy, P. Date, ». Becc, and X. Ériu, , p.45, 1958.

M. Kim, , pp.9-10, 1986.

C. John, , p.19, 1994.

D. Henri and . Jubainville, Voir aussi Kim MCCONE, Pagan Past and Christian Present in Early Irish Literature, vol.1, p.97, 1883.

D. A. Binchy, , vol.76, p.16, 1975.

M. Kim, , p.24, 1986.

C. John, , p.27, 1994.

C. John, , pp.2-3

C. John, , pp.3-9

S. E. Whitley and «. Windisch, The Irish Ordeals, Cormac's Adventure in the Land of Promise, and the Decision as to Cormac's Sword », Irische Texte, pp.186-187, 1891.

S. Peter and . Aimirgein, Glúngel tuir tend : A Middle-Irish poem on the authors and laws of Ireland, vol.8, p.137, 1994.

, significative car en elle nous voyons un réflexe des tensions contemporaines entourant les revendications des poètes à participer aux affaires juridiques et à l'administration de la justice, p.166, 2007.

, Voir l'extrait de CCF cité plus haut, p.34

R. Chapman, S. , and O. C. , , vol.163, p.165, 2007.

L. ,

M. Proinsias, . Cana, ». On-the-use-of-the-terme-retoiric, and V. Celtica, Dans cet article, l'auteur montre que le style rosc est utilisé pour traduire des passages latins empruntés à la Collectio Canonum Hibernensis, contenant notamment des noms latins inconnus dans la tradition orale pré-chrétienne, tradition que le rosc était censé véhiculer dans toute sa pureté, vol.3, p.356, 1966.

, Rucsat', ar síat, 'ar sligid úaind in fecht-sa fis filid, Aimirgein Glúngel tuir tend : A Middle-Irish poem on the authors and laws of Ireland, vol.87, p.131, 1994.

R. Chapman, S. , and O. C. , Pour Kim MCCONE, l'interdiction va entraîner un changement de style : du rosc à la prose, p.13, 1986.

S. Whitley and . The, Revue Celtique, vol.26, pp.4-64, 1905.

, ) brune (LU), qui contient le plus ancien manuscrit de la préface de l'Amra 96. Depuis, Máire Herbert a montré que la préface de l'Amra a été écrite en 1007 à l'époque de l'abbé de Kells Ferdomnach 97. Elle appartient donc à la tradition du moyen irlandais. Cet ajout tardif à l'Amra rejoint donc les critiques à l'égard des poètes, critiques qui se répandent dans les milieux lettrés de l'époque du moyen irlandais. La menace du bannissement qui plane sur les poètes à Druim Cett n'est pas, comme le pense Proinsias Mac Cana, « une sanction du VI e siècle », mais plutôt la volonté d'un auteur qui s, Un commentaire à l'introduction du Senchas Már indique que saint Patrice ne laissa aux poètes que l'exercice du droit relatif à leur ordre : « le juste (vrai) jugement dans le droit (córus) de leur profession » 90. Cette restriction fait donc écho au Prologue. Par ailleurs, une légende rattachée tardivement à la Geste de Colomba, vol.93

, Brethemnus firon a corus a cerde, pp.349-370

A. L. , , vol.16

, « Le mot amra sert à désigner un ouvrage où sont consignés les actes d'un personnage que l'on veut célébrer » (LEIA s. v. amrae). Le personnage est ici Colomba ( ?597). Whitley STOKES, « The Bodleian Amra Choluimb Chille, Revue Celtique, vol.20, pp.400-437, 1899.

M. Proinsias, «. Cana, . Regnum, and . Sacerdotum, Proceedings of the British Academy, LXV, p.32, 1979.

M. Proinsias and O. C. Cana, , p.462, 1979.

D. Le-glossaire-de-cormac and . Le-grand-'poète-d'irlande, Senchán Torpéist aurait eu 50 poètes dans sa suite ! Kuno MEYER, Sanas Cormaic, An old Irish Glossary, Cambridge Medieval Celtic Studies, vol.IV, p.31, 1912.

M. Proinsias and O. C. Cana, The Bodleian Amra Choluimb Chille, vol.20, pp.42-45, 1899.

M. Proinsias and . Cana, , p.465

H. Máire, « the preface to Amra Coluim Cille », Sages, Saints and Storytellers, Maynooth, éd. Donnchadh Ó CORRÁIN et alii, pp.67-75, 1989.